Don't worry, be happy

To Live Karma and Laws of the PerceptionUn récit/album du carnet de voyage :
To Live Karma and Laws of the Perception
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Je voudrais conclure mon carnet.

Ceci-dit je suis revenu de loin mais j'ai le sentiment de commencer seulement mon voyage. Et puis je n'ai plus tant besoin de me poser des questions à propos de nos différentes perceptions de la vie. Que ce soit en Europe, en Inde, ou partout dans le monde, nous trouverons des morales et des pulsions comparables.
Les plaisirs sont les mêmes, les fruits pressés et le sourire d'un ami, partager son repas et voyager un peu plus loin à chaque fois que l'on sort de chez soi.

Il est certain que le mode de vie, la perception et le Karma à l'indienne bouleversent nos habitudes. Mais au final nous recherchons tous la même absence de quotidien ou de ne pas être malheureux. Et justement, les barrières de l'occident sont à comprendre en défaut d'histoires. Nous avons été terrassés par des contes et des légendes absurdes à propos du monde. Libérons nous de nos illusions. Car il n'est pas dangereux de se promener comme nous avons la chance de pouvoir le faire. Allons voir ailleurs ce qu'il s'y passe et revenons changer notre maison. Arrêtons de rejeter tout ce qui nous gêne et travaillons à vivre avec plaisir et sans trop d'excès. Acceptons d'être simple pour ne pas être violent. La consommation est un choix. L'amour du partage en est un autre...

J'ai quand même un soupçon de méfiance qui persiste à me travailler la tête en ce qui concerne la manière dont tourne le monde, et pas seulement ici, et en Inde aussi. Les gouvernements sont-ils constitués des plus inhumains d'entre nous ?
Je crois connaître la réponse. J'attends d'être surpris. Mais franchement, si un jour nous avons l'occasion de voir une nation réellement gouvernée par son peuple, là je crierai victoire à la révolution !

Il y a cette connection à laquelle nous sommes sensibles. Ces synapses électriques, comme celles d'un seul cerveau, mais qui parcourent le monde entier à la recherche de liens entre humains. La nuit elles sont visibles. Nous sommes notre planète, car vue du ciel, elle nous ressemble. Seulement, nous ne sommes pas mis au courant de comment rentrer en contact. Il faut que nous fassions quelques efforts pour traverser les murs que les dirigeants, les armées et les richesses matérielles élèvent comme des oeillères autour de notre regard.
Les gens sourient moins facilement de notre frontière. Ils n'osent pas regarder dans les yeux, jauger le bon et le mauvais regard. L'échange est plus facile en Inde. Mais nous avons du chemin et déjà beaucoup sont en route. Nous ouvrons les yeux, doucement.

En attendant, continuons de gagner confiance en nous et de croire en notre dieu unique, qu'il soit religieux, spirituel ou de l'ordre d'une neo-science, ce dieu qui gouverne à la fois nos coeurs et nos pas, l'Amour tout puissant de notre âme, notre volonté d'aimer, et notre bonheur d'être aimé.

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DawPyAuteur : Postée le 12 décembre 2011 par DawPy
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