De Soustons à Cap Breton, 22 kms

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Leblogdenini.jimdo.com/Le père Lassargue nous avait conviés à une petite messe ce matin, hélas le pèlerin doit partir tôt… Tout cela n’est pas très catholique ! Soyons honnêtes, notre cheminement n’a pas de motivation religieuse. Comme le dit si bien le guide : « Quelle que soit la motivation de départ, ces itinéraires demeurent une invitation à l’ailleurs et au dépassement des limites quotidiennes. » je ne saurais m’exprimer mieux.
La pluie arrive dès le départ, c’est donc poncho obligatoire. Nous tournons un peu en rond avant de sortir de la ville et de retrouver notre chemin. Il est vrai que depuis que nous avons quitté nos amis qui passent par le Camino Frances, nous n’avons plus aucun balisage, il faut être doué pour la navigation. De plus, le guide est peu clair, et tout ce petit monde essaie encore de nous égarer au milieu des pistes en forêt. Elles sont nombreuses, se croisent, se rejoignent, un vrai labyrinthe. Grâce à la boussole, nous nous en sortons plutôt bien.
Déjeuner avec le soleil revenu à Seignosse, vers le square. Ensuite, nous nous égarons joyeusement sur les hauteurs, dans les massifs forestiers. Toujours grâce à la boussole, nous rejoignons une route. Là, par chance, une piste cyclable nous conduit jusqu’à Hossegor puis Cap Breton. Je crois que nous avons fait quelques kms bonus.
Après un peu de repos à l’hôtel, nous repartons en ville, faisons quelques courses et décidons d’aller nous installer sur la plage. C’est tout près, nous a-t-on précisé à l’office de tourisme ! Ben voyons ! Il y avait bien un kilomètre et demi (trois allers retour), et, de plus, à peine arrivés, nous essuyons une belle averse. Drôle d’expression car en fait, en essuyant l’averse, nous, nous étions bien trempés ! J’ai froid, je veux ma couette ! Mony
Nous sortons de Soustons sous la pluie.
Par ici, peu ou pas de balisage. Seul le guide vient à notre secours. Quand il nous dit de tourner à gauche au bout de 600 mètres, nous marchons à la montre, estimant le temps nécessaire pour parcourir la distance. C’est parfois trop approximatif, si on tourne trop tôt ou trop tard…on est complètement plantés ! Il ne nous reste plus que la boussole.
Depuis hier, dans chaque village, nous voyons des frontons pour jouer à la pelote basque. JC

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monyAuteur : Postée le 01 juillet 2009 par mony
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