Photos de la Région du Siné-Saloum
le soir le siné saloum est magique Non seulement toutes les espèces d'oiseaux se regroupent pour pêcher mais les couchers de soleils sont sublimes.
Village sérère au bord d'un bolong du Siné Saloum ; la région est occupée par l'ethnie des Sérères, qui y vit essentiellement de la pêche.
Sur une mer d'huile, la silhouette d'une pirogue se découpe au soleil couchant.
La mangrove du Siné Saloum est essentiellement constituée de palétuviers ou de mangles blancs, seuls végétaux à pousser dans cet écosystème humide et salé.
Un pur moment de paix et de bonheur dans une pirogue qui remonte le cours des eaux du Siné Saloum.
Tel un mirage, un immense baobab émerge dans le lointain d'un paysage où terre ocre et mer turquoise se confondent.
La mangrove du Siné Saloum grouille de vie ; elle abrite notamment de nombreuses espèces d'échassiers et autres oiseaux.
Reflet d'un groupe de baobabs dans les eaux calmes d'un bolong du Siné Saloum.
Des amas séculaires de coquillages blancs ont formé de petits lagons bordés de palétuviers.
Les racines des palétuviers sont chargées d'huîtres que la population ramasse à marée basse. Les huîtres du Siné Saloum sont particulièrement savoureuses et exportées jusqu'à Dakar. Leur exploitation intensive entraîne malheureusement une dégradation de la mangrove.
Une île constituée exclusivement par des amas de coquillages, sur laquelle poussent une maigre savane et des baobabs. Mais comme on l'a écrit, c'est aussi et surtout "une certaine idée du paradis".
Le jour des marchés importants, des pirogues lourdement chargées transportent les habitants des îles du Siné Saloum jusqu'au continent. Le voyage peut durer plusieurs heures sous un soleil de plomb.
La rive d'un bolong du Saloum avec des palétuviers dont les racines se découvrent à marée basse.
Une île du bout du monde que n'aurait pas renié Robinson Crusoé. Formée d'un amas de coquillages, cette île fait désormais partie de l'aire marine protégée de Bamboung.
De ce paysage d'une platitude absolue, seul émerge le minaret d'un village sérère construit au bord d'un bolong.
Calme et beauté absolue d'une nature vierge dont le silence est à peine troublé par le clapotis de l'eau sur les berges de coquillages.
Le fruit du baobab familièrement appelé "pain de singe" contient une matière crayeuse qui sert à de multiples usages ; c'est notamment un médicament très apprécié, sorte de "smecta" local.
Les magnifiques couleurs d'un dernier soleil sur les bolongs du Siné Saloum
L'un des énormes baobabs centenaires que l'on peut trouver sur l'île de Boumack Dioroum ; son tronc géant est creux à la base et une légende voulait qu'on y ait autrefois enterré les griots qui n'avaient pas droit de part leur infériorité sociale, à une sépulture dans les cimetières.
Un îlot de Robinson, inhabité et magnifique... Une nature fragile et encore vierge qu'il convient de protéger.
Une végétation dense arrive à s'implanter sur un sol qui n'est constitué que de coquillages.
Cette variété de plante à petites fleurs roses est la seule à pouvoir subsister dans les sols gorgés de sel du Saloum.
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