Photos de Mandritsara
N'est il pas splendide cet arbre, appelé "flamboyant", aux alentours de Mandritsara ? En fleurs, nous étions en novembre, il annonce noël sous les tropiques.
Transporter dix litres d'eau sur la tête, essaie un peu (piste d'atterissage à Mandritsara).
Au marché à Mandritsara tout le monde semble vendre. Cette petite fille vend des légumes.
Piste d'aviation à Mandritsara, nous transportons l'eau sur notre tête. Essaye un peu et fais beaucoup d'exercice; nous faisons cela depuis tout petit.
Moi je me repose un peu; ce vahaza photographe peut me photographier tant qu'il veut, il a l'air sympa et il a sans doute remarqué que je suis belle et bien habillée (Au marché de Mandritsara).
J'ai souffert de la lèpre qui existe encore chez nous; je suis guèri, mais mes pieds par exemple sont insensibles et je me blesse régulièrement; suite à ma maladie je ne sais pas marcher sans béquille; je vis au "village des lépreux" à Mandritsara, dans une maison dont la construction a été financée par les soeurs de la providence et les missionnaires salvatoriens; nous sommes aussi reconnaissants envers le fondation Raoul Follereau pour leur aide.
Je trouve son sourire et son regard très mystérieux sous l'ombre du chapeau (portrait à Mandritsara); l'ombre forme comme une dentelle sur son visage et me fait penser à ma maman qui portait un chapeau et un voile devant son visage, femmes mystères, beautés divines, bonheur de l'homme.
Après avoir sorti toute une journée de la terre glaise du sol pour fabriquer des briques, cela fait du bien de se laver un peu avant de rentrer à la maison. Mandritsara
Je porte mon trésor sur mon dos et bien à l'abri du soleil. La vie est belle à Mandritsara.
Quel plaisir de pouvoir jouer et se laver dans la rivière, ici à Mandritsara.
Les soeurs de la providence gèrent, à Mandritsara le centre de santé Fanantanena, ce quit veut dire espoir. Ici les parents attendent à l'extérieur pour faire examiner leur petit enfant.
J'offre un grand sourire à tous les visoterriens (écolière à Mandritsara).
Tous les jours je creuse la terre pour en faire des briques (Mandritsara), jusqu'à 1.000 par jour; cela me fait des muscles. Je place la terre dans les petites formes en bois.
Fin de journée, beaucoup de vent, air chaud, on dirait que la pluie va tomber à grosses gouttes (Mandritsara).
Fatiguée de la fabrication de briques, je rentre à la maison (Mandritsara).
Je viens de former comme tous les jours des briques au départ de la terre, c'est le gagne-pain de toute notre famille.
Eugénie a 20 jours, sa maman est déjà décédée, sa grand-mère Ravaviny prendra soin d'elle; Ravaviny avait 14 enfants et en a déjà perdu 7; c'est comme ça la vie à Madagascar; ici Ravaviny visite le centre de santé à Mandritsara, géré par les soeurs de la Providence (cet ordre a été fondé par le curé de paroisse Jacques François Dujarié en 1806 à Ruillé Sur Loir en France).
Marché de Mandritsara: l'art c'est de rester calme: si le passant veut acheter, il achètera.
Roseline, cette petite fille de trois mois, en visite au centre de santé à Mandritsara vient de perdre sa maman Louise qui laisse sept enfants orphelins; le centre de santé Fanantenana - ce qui signifie espoir - est depuis 1991 géré par les soeurs de la providence; on pense que la maman est morte suite à une meningite; cela me fait penser à ma propre mère qui perdait, suite à la guerre '14-'18, ses deux parents lorsqu'elle avait six ans; la famille comptait également sept enfants; qui à Madagascar prendra soin des sept enfants?
Pour rentrer de Mandritsara à Antananarivo j'ai passé plus de 24 heures dans le bus; prix: 40.000 ariary, ce qui fait environ 16 euros; une alternative c'est le petit avion, mais les jours de vol ne convenaient pas dans mon programme; survoler l'île ainsi doit être fantastique; j'ai vécu cela à Haïti, volant de Port-au-Prince à Hinche pour visiter mon ami le père Alphonse (belge) qui vit là-bas.
À Mandritsara les soeurs de la providence ne font pas que prier, elles creusent aussi des puits d'eau.
Tout près du marché de Mandritsara j'ai pris ce jeune homme en photo; le poids de sa charge est bien réparti.
A Mandritsara les soeurs de la providence organisent des cours d'alphabétisation; ainsi les enfants peuvent aller à l'école.
En route vers notre potager à Mandritsara, j'ai été impressionné par l'immensité du paysage et cette scène des activités à la campagne.
Marché à Mandritsara; tu veux dix oeufs, cela fera 3 000 ariary (soit 1,2 euros); Bon appétit!
Marché de Mandritsara: pour moi ce sera dix oeufs, et je vous dois 3 000 ariary; que pensez-vous de mon chapeau?
Cher passant, si tu as envie de te régaler avec quelques bananes frites, arrête toi chez moi (marché de Mandritsara); tu veux quatres bananes frites? Ok, cela te fera 200 ariary (soit 0.1 €).
Vous êtes parti récemment à Mandritsara et avez pris des photos? Nous vous encourageons à les partager sur Visoterra pour les montrer à vos proches ou aider les Visoterriens à préparer leurs voyages à Mandritsara. Toutes les images présentées dans ces albums ont été envoyées par des Visoterriens.
Deux possibilités :
- La plus simple et rapide : vous postez directement vos photos dans un album créé automatiquement lors de votre inscription.
- La plus complète : vous créez un carnet de voyage, puis envoyez-y vos photos.
Par ailleurs, en plus des photos Mandritsara, Visoterra contient d'autres pages qui peuvent vous aider à préparer votre voyage : et plein d'autres informations. N'hésitez pas à repasser régulièrement ici pour découvrir de nouvelles photos Mandritsara.