Photos d'Islande
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Alors que s’évase Hvanngil, la vallée des angéliques, nous posons nos tentes dans le camping du même nom, autour d’un refuge muni de douches (Chaude ? Pas chaude ? C’est pile ou face, choisissez bien). Quelques îlots de terre accueillent les tentes en bordure de pittoresques affleurements de lave déchiquetée. Des cailloux coupants bordent la piste s’incurvant au sud-est vers le désert «maudit» et hanté d’Emstrur.
Superbe vue sur les collines mouillées de l’Emstrur, un peu à l’écart du refuge de Botnar, alors que le soir tombe. Bien que Septembre arrive à grand pas, il fait encore jour bien tard à ces hautes latitudes.
Cette cascade, haute d'une trentaine de mètres, impressionne par la force et la puissance de l'eau en chute libre. Mais là n'est pas sa principale caractéristique. En effet, l'eau de cette cascade est potable et à en avoir bu, je peux vous dire qu'elle est légère, vivifiante et fraiche !
Le petit lac soufré perché dans ses « dunes » se cache derrière la colline Bláhnúkur. Les nuages jettent des ombres impossibles, plongeant certaines collines dans le noir et pas les autres, ajoutant aux contrastes déjà violents du paysage.
A quelques kilomètres de Landmannalaugar, le paysage change du tout au tout. De grandes étendues de collines noires et vertes, à vrai dire plus représentatives de l’Islande que les collines de rhyolite, s’étendent vallée après vallée. Les pistes de 4x4 longent de vastes lacs-miroirs ou des cours d’eau peu profonds serpentant sur le sol de cendre noire. On croise parfois des lignes électriques assez curieuses dans ce paysage à la fois désolé et paisible. Les petits pompons blancs dans l’herbe sont des linaigrettes.
Un mélange intéressant de terre et de glace mais surtout mélange éphémère à cause du réchauffement climatique. Il faut savoir que le glacier recule chaque année de quelques centimètres alors si vous voulez découvrir cette magie de la nature et de vous plonger dans ce cadre unique.Vous savez ce qui vous reste à faire.
En gravissant les flans friables de Bláhnúkur, le paysage extraordinaire se dévoile à mesure que l’on prend de l’altitude. Un chaos de mont chauves ravinés et de petites vallées abruptes recouvrent la région, formant un labyrinthe multicolore qui devient franchement psychédélique lorsque le soleil est de la partie. Les veines de neige qui demeurent durant l’été, les colonnes de vapeur au-dessus des quelques sources chaudes cachées dans les plis du paysage et les glaciers-calottes qui trônent sur les hauteurs parachèvent l’étrange tableau.
L'éruption qui a commencé dans la nuit du 20 au 21 mars 2010 continue.
Le flot de lave a maintenant recouvert une partie du sentier qui mène de Skógar à Þórsmörk.
Paysage unique et magestueux. Se trouver au pied du crater vous renvoie des millions d'année en arrière. Vous éprouverez un certain respect envers cette nature si belle et puissante.
Un conseil pour bien traverser les quelques kilomètres de mélange boue, herbes, joncs, cendre, eau glacée : prévoir des sandales pour se protéger des coupures, mais bien ouvertes pour évacuer les petits cailloux abrasifs !
La lagune glacière de Jökulsárlón a commencé à apparaitre dans les années 30.
Elle a plus que doublé en taille entre 1975 et aujourd'hui (18 km²) due a la fonte massive des glaciers dans le monde.
Dans une région noire couverte de mousse vert fluorescent s’étend langue glacière de Sólheimajökull, issue de la petite calotte glacière de Mýrdalsjökull. L’odeur du soufre est omniprésente.
Depuis la « forteresse de lave reptilienne », une vue sur l’étendue du Laugahraun. Le camping est juste au bout de la coulée, mais on ne le voit pas car celle-ci forme un mur d’une dizaine de mètres de haut à son extrémité, cachant ainsi les tentes et le refuge blotti à son pied.
Le chemin que l’on aperçoit descendant le col longe la coulée de lave pour rejoindre le camping. Il a beau être des plus fréquenté, il n’en reste pas moins traître et vous regretteriez de vous y aventurer en baskets.
La cascade de Brúarfoss, très peu connue des touristes en Islande, est située peu avant le site de Geysir.
En une journée de marche dans le désert, vous aurez l’impression de parcourir des distances gigantesques tant les repères manquent pour apprécier l’échelle des paysages. Curieusement, la vue porte presque toujours très loin en Islande, même quand le paysage est plat.
Sur les ravines instables de cette côte, nous croisons des cabanes. Le vent est terrible. Au loin s’étend le lac Hólmsárlón. On peut trouver des sources chaudes dans les environs, en suivant les panaches de vapeur.
Une cascade monumentale creuse un flanc de l’Eldgjá. Bien qu’elle soit photogénique, il n’est pas évident de rendre justice à la majesté d’Ófærufoss avec un cliché depuis le petit promontoire qui s’avance au-dessus « second niveau » de la cascade. Mais quand on y est, c’est un régal pour les yeux.
Ajoutant aux couleurs et au contraste d’un paysage déjà éblouissant, des langues de neige tapissent les innombrables creux et gorges du paysage tourmenté.
Faites un tour avant le petit déjeuner sur la coulée de lave bordant le camping de Landmannalaugar pour profiter des extraordinaires couleurs et contrastes offerts par les rayons de soleils rasants et le givre.
Dès mi-septembre les jours raccourcissent de plus en plus vite. Même si le soleil se couche toujours plus tard qu’en Europe continentale, on remarque très nettement que l’obscurité tombe plus tôt chaque jour. Avec la lumière du soir et les pluies passagère, on a droit à de superbes arc-en-ciel…
En marge du Mælifellssandur et du Mýrdalsjökull, vers les collines bordant au Nord les sables noirs du glacier, nous traversons chaussures à la main et en sandales d’interminables gués incertains, changeant, et glacés !
La « chute des enfants » doit son nom à la noyade de deux enfants dans ses eaux, tombés de l’arche de pierre qui la traversait. Cette arche a été détruite à la demande de la mère des victimes. S’élançant dans un chaos de pierres avec une grande violence, la chute débite à 80 m3/s mais peut atteindre 500 m3/s ou plus pendant les crues. L’érosion sculpte des formes étranges dans la gorge, l’eau passe sous des arches et creuse des cavités dans la paroi. Vue sur Hallmundarhraun depuis le site de Barnafoss.
L’éperon rocheux qui surplombe le glacier Tindfjallajökull,Ýmir, culmine à 1463m d’altitude.
En s’éloignant de Mælifellssandur, la traversée d’un kilomètre de gué et de mousses gorgées d’eau permet de couper par les collines pour atteindre plus aisément la vallée des angéliques à l’extrémité de laquelle attend un refuge muni de douche (payante)!
Utilisation de la geothermie pour la production d'electricite
Sur ce site vous pouvez observer des jaillissements de geyser toutes les 10 minutes.
Difficile de rendre sur une photo le gigantisme de l'Eldgjá où, sous le couvercle de brume, règne une atmosphère de secrets initiatiques et de recueillement solennel. Le silence est absolu.
Les fameuses collines de rhyolite colorées de Landmannalaugar, en face du site de camping, au-delà du lit caillouteux de la rivière Jökulgil.
Un site surprenant : au bord de la grande rivière Skaftá, une coulée de lave a été sculptée par les eaux de ruissellement en ce qui ressemble aujourd’hui à un village d’elfes. Arcs, colonnes, courts piliers de laves se succèdent sur le site bordé par un ruisseau rejoignant la rivière. L’herbe rase, les petites flaques-miroirs reflétant le ciel de plomb autour desquelles s’épanouissent des bouquets de linaigrettes, d’étranges sculptures de lave, des talus révélant de petites cavernes dont la lave érodée étaie le plafond, tout cela contribue à donner à l’endroit un aspect artificiel et paysagé, alors qu’il n’en est rien.
On pourrait être tenté, en traversant Kaldaklof, de remettre ses chaussures pour progresser plus vite. Mais les gués sont changeants et le sol spongieux se gorge d’eau sous le poids des marcheurs. C’est encore en sandales qu’on s’en sort le plus vite.
En arrivant de l’Eldgjá, on entend d’abord le bruit de la cascade, puis en gravissant le promontoire, on découvre la première chute magnifique puis un niveau de turbulences étagées. Mais, en redescendant de l’autre côté, surprise, une troisième chute donne sur un petit bassin encaissé. Comme souvent en Islande, l’imposante chute d’eau ne s’épanche qu’en un tout petit ruisseau, à se demander où toute l’eau passe.
Le sol friable rend certes les ascensions fatigantes (elles ne durent pas longtemps cependant !) mais a permis la formation de multitudes de vallées encaissées comme celle-ci, ivres de lumière et de couleurs (s’il fait beau…)
Une vue au loin ; au premier plan la petite vallée de la Jökulgil, toujours sur le site de Landmannalaugar. Bien que le site soit un haut lieu de la randonnée et que les trekkeurs affluent, on peut toujours facilement se retrouver plongé en pleine nature et se sentir seul au monde.
Le Laugahraun est la coulée de lave au pied duquel s’étend le camping de Landmannalaugar. Sur les hauteurs de son extrémité Ouest, on voit ce curieux épanchement hérissé, à mi-chemin entre une forteresse dominant un col et un reptile géant vautré au soleil. D’étranges éperons de pierre se dressent sur les collines Brennisteinsalda, à gauche.
De l’autre côté de la vallée, on a une meilleure vue d’ensemble de la cascade et de sa taille. C’est tout noir et tout vert. A cinq minutes de marche d’Ófærufoss, un parking où peuvent venir s’arrêter les fainéants qui viennent en 4x4 quoi que la conduite sur piste ne soit pas une sinécure. Pour passer au-dessus des ruisseaux, il y a d’étranges « ponts » qui sont en fait plus des colonnes de béton jetées en travers de l’eau, et sur lesquels il n’est pas toujours évident de se hisser.
L’étendue des cendres et des sables escamote les pistes de 4x4 en annulant les distances. Le silence irréel, l’impression de marcher sur place et la solitude suggèrent le recueillement, la relaxation, quelques choses hors du temps, mais les sables mous rendent la progression difficile et nous rappellent à la réalité.
Quand on se détourne du Mýrdalsjökull, on aperçoit à l’horizon le Tindfjallajökull. L’islande tient toujours ses promesses de glaciers, de déserts noirs venteux et de mousses vertes fluorescentes.
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